Grondement!

Texte de LUCYE RAYE.

Images internet !

                                         Grondement!

 

Grondement de l'océan :les vagues tapent,

Frappent sur  les falaises qui les happent...

Phénomène que les yeux  admirent

Force de la nature s'étire

Sur notre île impassible

Il faut attendre  paisible

Que la mer se retire

Rires ...De ses délires...

Sourires 

De ses  plaisirs ...

Mais des torrents invincibles

L'embrassent en tourbillons invisibles

Pleurent  de nos bêtises

Des larmes   s'agonisent : L'océan s'épuise

Flux et reflux refusent les pleurs

Creusent les écueils où  les coraux se meurent

Comme ses lacrymaux en douceur

Des yeux de mon cœur...

 

Grondement du tonnerre 

Sur cette terre

Le brouillard s'unit  aux nuages noirs

Sur  nos mont nappés  en foire 

Des jolies cascades que l'on devine...

Seules nos montagnes les dessinent .

 

Grondement de la pluie torrentielle

L'été : c'est diluvienne...

Ciel et mer se marient de passion 

Pour créer des dépressions

Expirant  sur terre en déluge d'averses 

Qui se déversent

En larmes mourantes dans nos rues ...

Les habitants ont un aperçu

Que la nature prend le dessus

Ne pas se mettre à vue:

Mais à l'abri 

Et apprécier la vie !

 

 

 

 

 

 

 

 

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Messages reçus ++cadeau vidéo +++photo

 

++++++C'est beau !

 

++++++LÀ TU ME PLAIS...

 

 

 

 

 

++++Message: Un véritable coup de cœur pour ce très beau cadeau Lucie ...ton poème est sublime une émotion très belle sur la nature merciii et félicitations !

 

+++Cadeau pour ton poème (vidéo)

 

++++Au fond du grondement il y a le cri de naissance de l'humanité heureuse ! 

 

Tu es sublime tu grimpes vers les sommets et tu magnétises jusqu'aux plus inattendus !

 

 

++++16 FEVRIER Message: Je vole quand !

 

Sur son passage s'ouvre le temps !

Le vieux volcan sonde les champs

La terre voudrait gagner de l'avant

 

Mais la mer refroidit chaque saut

Il se cabre, se raidit. C'est l'assaut

Sur la plaine tout en soubresauts !

 

Sans lâcher prise, la mer ressasse

De vieilles écumes perdus, hélas

Dans ses ressacs la vie trépasse

 

Le volcan crache puis racle le sol

Sur de lui, il joue du La en obole !

Capture cette fougère qui s'affole

 

Ses laves avancent, tentaculaires !

Gagnent du terrain, usent nos terres

Pourtant la vie viendra s'y parfaire

 

La terre tremble tant il la gronde

Se jurant de résister à ses ondes !

Mais l'insolent, se veut immonde (lol)

 

Si maintenant, et si je vole quand

Sur cette terre d'un beau volcan

C'est que l'amer se veut haletant !

 

…/…

 

Thierry Titiyab Malet (le 16 février 2016)