Carnaval de pluie!

Texte de LUCYE RAYE.

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                                               Carnaval de pluie!

 

Pluie ...

Accalmie!..

Rions ... Un peu !

Carnaval  heureux !

 

Je prends le temps de me déguiser sous la pluie

Une accalmie

Pour un souffle de bonheur

Et de rire de ce vent de malheur ...

 

Ma muse n'est pas en déroute 

Elle suit sa route

Avec le vent qui la pousse

Pour capturer ses alcôves douces...

Elle est bien plus puissante 

Elle le pourchasse vers la mer montante...

C'est une tornade sur l'océan

Et elle ,masque et cheveux au vent

Se laisse prendre dans le tourbillon

C' est une bataille  en champignon!

 

Le vent vaincu

Ne s'est plus défendu

Il s'évacue

Dans l'océan nu ...

Il n'y a que la pluie

 Qui rit

Encore sur l'île  blanchie

Des montagnes embellies

De cascades qui grondent  en dévalant les pentes

En me criant :" Garde tes alcôves aimantes

Dans ta chambre bleue de duvets d'oie 

Personne ne lèvera plus le petit doigt

Tu as toute ta liberté

De  valser en carnaval de beauté !"

 

Ma plume en vainqueur

 Et triomphateur

Va sauter  dans les flaques

Sans quiconque ne l'attaque :

Dans la rue de poésie

En se moquant de la pluie !

Accalmie dans l'air

Peut- être précaire :

 

Mais ma muse n'est pas abrutie

Elle n'est plus à leur merci .

 

 

 

 

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Messages reçus+++photo

 

+++Message: Merci notre poétesse pour ce joyeux et beau poème qui me met du baume au cœur....un vrai plaisir de te lire BRAVOS !

 

+++++Splendide poème!

 

++++15 FEVRIER 2016 Message: Le temps de rien !

 

Tout me semble tellement calme à présent

Mes rêves peuvent se reposer un moment !

Le ciel est clair, le soleil bien trop clément

 

Ma plume plus que jamais se tient en suspend

Elle vole allègrement sur la belle page du temps

Pas un nuage à l'horizon, la mer vers moi s'étend

 

Je plonge en mes pensées et je pêche l'encre du vent

Il soulève les mots puissants qu'un instant je te tends

Le couple est du moment et veut sonner sur ce pan !

 

Cette vieille abrupte qui se tient à nos pieds pendants

Comme si elle voulait se dérober à nos rêves d'antan !

On court vers la digue, je m'arrête et souffle lentement

 

Tes cheveux noirs semblent flotter, c'est l'apaisement

Ils ondulent, balayés de la caresse de rayons puissants

Le sable sous nos pieds crisse. Je brûle littéralement !

 

Nous voilà libérés, tout semble si loin ! C'est dément

 

…/…

 

Thierry Titiyab Malet